L’urbanisation post-urbaine et post-rurale de la planète est catastrophique par la mutation anthropologique qu’elle produit. Plus encore, elle est éco- catastrophique par ses effets sur le climat, sur la consommation de sol fer- tile et sur les écosystèmes. Le « retour au territoire bien commun » demande de faire grandir la « conscience des lieux », pour reconstruire les relations de co-évolution entre les établissements humains et le milieu ambiant; pour valoriser des formes conviviales d’habiter, de produire et d’autogérer…
Lire la suite >